Tel a toujours été le Destin, capricieux, injuste, regrettable. Rien ne peut empêcher sa volonté divine de s'accomplir, même si pour cela, des vies en comptaient. On pouvait parfois le comparer à un enfant jouant en haut de la planète en prenant les êtres humains pour de simples jouets. oui, tel a toujours été, est et sera le Destin...
Et ce jour, il avait décidé de jouer avec lui Ragnork Murdill. Alors que l'agitation palpable habituelle aux marchés semblait toute ordinaire, une horde de cavalier commencèrent à traverser la ville en tranchant tout ce qui se trouvait sur leurs passages et bien qu'il y ai eu des opposants, il furent décapités puisque ces cavaliers au nombre de 4 étaient tous vêtus de plaques noir laissant apparaître des pointes aiguisées, tout comme leurs montures.
C'était la panique la plus total, tout ceux dehors se ruaient à l'intérieur et ceux à l'intérieur se demandant ce qui se passe allaient à l'extérieur. L'arrière-boutique d'où se trouvait Ragnork était déjà emplie de monde, tout de sortes différences mais animées d'une émotion commune, la peur. Puis soudainement, une femme d'une quarentaine se mit à genoux devant le nain et le supplia de tous ses pleurs de lui ramener son enfant en bas-âge qu'elle avait oublié dans sa fuite, il se trouvait au milieu de la rue, sur le chemin des cavaliers qui avaient décidés de s'arrêter pour admirer le fruit de leur massacre.
Allait-il l'aider ? Allait-il être bon ? Ou simplement allait-il juste s'occuper de lui-même ? Cela ne dépendait que de lui...